The Pleasure of God in Those Who Hope in His Love/fr

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Psaumes 147:10-11


Ce n’est pas dans la vigueur du cheval qu’il se complaît,

Ce n’est pas la robustesse de l’homme qu’il agrée ;

L’Eternel agrée ceux qui le craignent,

Ceux qui s’attendent à sa bienveillance.


Notre Focalisation sur les Plaisirs de Dieu


Jusqu'à présent nous avons focalisé notre attention sur les plaisirs que Dieu a en lui-même et en son œuvre.

• Il prend plaisir en son Fils, la représentation exacte de sa nature et le reflet de sa gloire.

• Il prend plaisir en son œuvre de création – les grands monstres marins qu’il a créés pour folâtrer dans les océans !

• Il prend plaisir dans toutes les œuvres de providence qui démontrent qu’il est libre et souverain sur le monde entier.

• Il prend plaisir à la grandeur de son nom et la réputation de sa gloire.

• Il prend plaisir à choisir librement son peuple et se réjouit de leur faire du bien.


Et cela lui a plu de briser son Fils, car au travers de ce grand acte de jugement, les fiançailles orageuses des deux grandes passions de Dieu, la passion pour la gloire de son nom et la passion de son amour envers les pécheurs, ont conduit au mariage.


Hypothèse à l’Origine de Notre Focalisation


Vous vous rappelez sans doute que notre hypothèse derrière tous ces messages est basée sur la conviction exprimée par Henry Scougal dans son livre « The life of God in the Soul of Man » (La vie de Dieu dans l'âme de l'homme), à savoir que « la valeur et l’excellence d’une âme doit être mesurée en fonction de l’objet de son affection ». En d’autres termes, si nous aimons les choses à bas prix et de peu de valeur, nous révélons combien notre âme est étroite et de bas prix.


L’âme est mesurée par ses vols

Certains bas et d’autres hauts

Le cœur est connu par ses plaisirs,

Et les plaisirs ne mentent jamais.


Nous avons établi comme point de départ de cette série, la certitude que cela est aussi vrai pour Dieu, pas uniquement pour l’homme. La valeur et l’excellence de l’âme de Dieu se mesure par les objets de son affection. Et je pense que nous les avons vus se manifester maintes et maintes fois : les objets de l’affection de Dieu sont ces choses de beauté et de valeur infinies.


• Il aime son Fils;

• il aime son œuvre dans la création;

• il aime la souveraineté de sa providence ;

• il l’aime l’honneur de son nom ;

• il aime la liberté de la grâce manifestée dans le choix, la protection et le rachat de son peuple.


Donc Dieu est un très bon exemple pour nous. Il nous montre ce qu’une âme excellente devrait aimer par-dessus tout. Nous devrions aimer


• le Fils de Dieu,

• et l’œuvre de Dieu dans la création,

• et sa souveraineté dans la gouvernance du monde,

• et l’honneur de son nom,

• et la liberté de sa grâce.


Si nous aimions plus ces choses, nos âmes seraient plus ouvertes et plus effectives dans cet amour, et nous serions plus conformes à l’image de notre Créateur.


Un Tournant dans la Série


Aujourd’hui marque un tournant dans cette série car jusqu'à présent nous ne nous sommes pas focalisés sur le genre d’attitudes et d’actions des hommes auxquelles Dieu prend plaisir. Nous nous sommes premièrement concentrés sur l’amour de Dieu pour sa propre gloire et je pense que cet ordre est très important.


Commencer par le Centre de l’Evangile – Dieu


Nous avons besoin de voir (et ceux que nous aimons dans ce monde ont besoin de voir !) d’abord et avant tout que Dieu est Dieu :


• qu’il est parfait et complet en lui-même,

• qu’il est pleinement heureux dans la communion éternelle de la Trinité,

• qu’il n’a pas besoin de nous et n’est aucunement déficient sans nous.


Mais par contre nous, nous sommes déficients sans lui ; la magnificence de sa communion est le courant d’eau vive dont nous avons soif pour toute notre vie.


A moins que nous ne commencions avec Dieu dans ce sens, lorsque l’évangile vient à nous, nous nous plaçons inévitablement au centre de celui-ci. Nous aurons le sentiment que notre valeur plutôt que la valeur de Dieu est la force motrice de l’évangile. Nous attribuerons l’évangile au plaisir de Dieu en nous au lieu de l’attribuer à la grâce de Dieu qui ouvre un chemin aux pécheurs pour qu’ils se délectent en Lui.


Mais l’évangile, c’est la bonne nouvelle que Dieu est l’accomplissement parfait de tous nos désirs et bien qu’il n’ait point besoin de nous et qu’il soit en fait séparé de nous à cause de nos péchés qui déprécient la valeur de Dieu, il a, dans son grand amour pour nous, ouvert un chemin aux pécheurs pour qu’ils puissent boire à la rivière de ses délices au travers de Jésus Christ. Et nous ne serons pas captivés par cette bonne nouvelle à moins que nous ne comprenions que Dieu n’était pas obligé de faire cela. Il n’était ni forcé, ni contraint par notre valeur. Il est le centre de l’évangile. La célébration de sa gloire est la force motrice de l’évangile. L’évangile est un message de grâce ! Et la grâce c’est la volonté de Dieu, de manifester la valeur de Dieu, en donnant le droit aux pécheurs de se délecter en Dieu, sans obscurcir la gloire de Dieu.


Et les saints se passionnent pour le rôle central de Dieu au sein de l’évangile :


• Ils aiment dire avec Paul, « Tout est de lui, par lui et pour lui ! A lui la gloire dans tous les siècles. » (Romains 11:36).

• Ils aiment ne se glorifier que dans le Seigneur (1Corinthiens 1:31).

• Ils aiment proclamer que Dieu est le début, le milieu et la fin de toute la question du Salut.

• Ils aiment déclarer qu’ils ont été choisis pour la gloire de sa grâce (Ephésiens 1:6) ; appelés des ténèbres à la lumière pour proclamer les merveilles de sa grâce (1Pierre 2:9) ; justifiés car Christ est mort pour montrer toute la sainteté de la grâce de Dieu (Romains 3:25-26), et seront un jour engloutis dans la vie vers la louange de la gloire de sa grâce (2 Corinthiens 5:4).


Ainsi donc, durant sept semaines nous nous sommes concentrés sur les plaisirs que Dieu trouve directement en lui-même et dans la liberté de son œuvre, afin d’établir clairement que Dieu est le centre de l’évangile. Nous avons fait simplement une allusion au genre de réponse venant de l’homme, qui pourrait apporter de la joie à Dieu.


Vers Notre Réponse à l’Evangile


Mais à présent nous sommes prêts. Maintenant, par la volonté du Seigneur, nous allons pouvoir comprendre pourquoi la réponse que Dieu demande et aime des hommes, se présente comme une bonne nouvelle pour les pécheurs et tout en conservant Dieu au centre de ses propres amours.


Si l’évangile demande une réponse de la part des pécheurs, cette demande doit elle-même être à la source d’une bonne nouvelle au lieu d’être un fardeau supplémentaire autrement l’évangile ne serait pas évangile. De plus, si le véritable évangile de la Bible place toujours Dieu au centre, alors la réponse à cet évangile doit magnifier Dieu et non nous-mêmes.


A présent, quel genre de réponse peut satisfaire à ces deux éléments : bonne nouvelle pour les pécheurs et gloire à Dieu ?

Notre texte d’introduction en fournit la réponse. Psaumes 147:10-11,


Ce n’est pas dans la vigueur du cheval qu’il se complaît,

Ce n’est pas la robustesse de l’homme qu’il agrée ;

L’Eternel agrée ceux qui le craignent,

Ceux qui s’attendent à sa bienveillance.


Commençons avec le verset 11 en nous posant la question pourquoi Dieu prend plaisir en ceux qui le craignent et s’attendent à sa bienveillance. Ensuite, nous nous intéresserons au verset 10 et affinerons notre réponse en nous demandant pourquoi Dieu ne se complait pas dans la vigueur du cheval et dans la robustesse de l’homme.


Craindre et Espérer en Dieu en Même Temps


Avant tout, permettez-moi de vous poser cette question : cela vous semble t-il étrange que nous soyons exhortés à craindre et espérer en même temps et envers la même personne ? "L’Eternel agrée ceux qui le craignent, ceux qui s’attendent à sa bienveillance." Espérez-vous en celui que vous craignez et craignez-vous celui en qui vous espérez ?


Cela se passe d’habitude tout autrement : si nous craignons une personne, nous espérons que quelqu’un d’autre vienne et nous aide. Cependant là, nous sommes supposés craindre celui en qui nous espérons et espérer en celui que nous craignons. Que cela signifie ?


Je pense que cela signifie que nous devrions laisser l’expérience de l’espérance pénétrer et transformer l’expérience de la crainte et de même permettre à l’expérience de la crainte de pénétrer et transformer l’expérience de l’espérance. En d’autres termes, le genre de crainte que nous devrions avoir envers Dieu est ce qui reste de crainte lorsque au milieu de cela, nous possédons une espérance infaillible.


La Crainte face à une Terrible Tempête Arctique


Supposons que vous soyez en train d’explorer un glacier inconnu dans le nord du Groenland en plein milieu de l’hiver. Juste au moment où vous atteignez une falaise abrupte qui vous offre une vue spectaculaire de glace déchiquetée et de montagnes enneigées sur des kilomètres, une terrible tempête se soulève. Le vent est si violent que la crainte d’être projetés vous et votre groupe droit contre la falaise, augmente. Mais au milieu de cela, vous découvrez un creux dans la glace où vous pouvez vous cacher. Là, vous vous sentez en sécurité. Cependant, la puissance terrifiante de la tempête continue de faire rage et vous la regardez avec une sorte de plaisir frissonnant alors qu’elle déferle au dehors sur les glaciers lointains.


En premier lieu, il y a eu la crainte que cette terrible tempête et cette terre imposante ne s’emparent de votre vie. Mais ensuite, vous avez trouvé un refuge et gagné l’assurance que vous étiez en sécurité. Cependant, tout de la sensation de crainte n’a pas disparu. Seule la menace sur votre vie s’en est allée. Et là ne restaient que le frémissement, l’émerveillement, l’admiration, le sentiment que vous ne voudriez jamais vous frotter à une telle tempête ou être l’adversaire d’une telle puissance.


La Crainte de la Puissance de Dieu


Et c’est ainsi qu’il en est avec Dieu. Les versets 16-17 du Psaumes 147 disent, « Il donne la neige comme de la laine, Il répand le givre comme de la cendre ; Il lance sa glace par morceaux ; Qui peut résister devant son froid ? Le froid de Dieu est une chose redoutable – qui peut s’y opposer ! Et les versets 4-5 mettent l’accent sur cette même puissance de Dieu sur la nature : « Il compte le nombre des étoiles, Il leur donne à toutes des noms. Notre Seigneur est grand, d'une force immense, Son intelligence n'a point de limite».


En d’autres termes, la grandeur de Dieu est plus grande que l’univers des étoiles et c’est sa puissance qui est derrière la froideur insoutenable des tempêtes arctiques. Et pourtant, il met sa main autour de nous et dit, « Refugie-toi dans mon amour et laisse les terreurs de ma puissance devenir les feux d’artifices spectaculaires qui illuminent ton joyeux ciel de nuit. ». La crainte de Dieu est ce qui reste de la tempête lorsque vous êtes dans un lieu sûr d’où vous pouvez la contempler tout en étant au milieu de celle-ci.

Et dans ce lieu de refuge vous vous dites à vous-même, « C’est extraordinaire, c’est terrible, s’est une puissance incroyable ! Ah, quels frissons d’être là au centre de la terrible puissance de Dieu et pourtant protégé par Dieu lui-même ! Ah, quelle chose terrible de se retrouver entre les mains du Dieu vivant sans espérance, sans Sauveur ! Autant avoir un boulet attaché autour de mon cou et être jeté dans les profondeurs de la mer que d’irriter ce Dieu ! Quel privilège merveilleux de connaître la faveur de ce Dieu au milieu de sa puissance !»


Ainsi, nous avons une idée de comment nous pouvons ressentir de l’espérance et de la crainte en même temps. L’espérance tourne la crainte en un tremblement joyeux et un émerveillement paisible ; et la crainte retire de l’espérance tout ce qui est insignifiant pour le rendre sérieux. Les terreurs de Dieu rendent intenses les délectations de son peuple. La communion près d’un feu de cheminée est ce qu’il y a de plus doux lorsque la tempête rugit à l’extérieur de la maison.


Le plaisir de Dieu en Ceux qui Craignent et Espèrent en Lui


A présent, pourquoi Dieu prend t-il plaisir en ceux qui l’expérimentent de cette manière ; en ceux qui le craignent et qui espèrent en son amour ?

Assurément, c’est parce que notre crainte reflète la grandeur de sa puissance et notre espérance reflète la générosité de sa grâce. Dieu prend plaisir en ces réponses qui reflètent sa magnificence.

C’est bien ce à quoi nous aurions dû nous attendre venant d’un Dieu qui se suffit à lui-même et qui n’a nullement besoin de nous ; un Dieu :


• qui n’abandonnera jamais la gloire d’être la fontaine de toute joie,

• qui ne renoncera jamais à l’honneur d’être la source de toute sécurité,

• qui ne cèdera jamais le trône de sa grâce souveraine.


Dieu se réjouit en ceux qui espèrent en son amour car cette espérance met en évidence la liberté de sa grâce. Lorsque je m’écrie « Dieu est mon unique espérance, mon rocher, mon refuge ! », Je me détourne de moi-même et en appelle à toute l’attention des ressources illimitées de Dieu.


La Réponse Qui Satisfait Deux Choses


Vous souvenez-vous de la question que nous avons posée il y a quelques instants : Quel genre de réponse Dieu peut-il demander de nous afin que cette demande soit bonne nouvelle pour nous et lui donne la gloire ? Voici la réponse : Espérer en son amour.


Bonne Nouvelle pour les Pécheurs


En tant que pécheur incapable d’être juste par lui-même, se tenant devant un Dieu auto-suffisant et saint, quel ordre voudriez-vous entendre plutôt que celui-ci : « Espère en mon amour !» Si seulement nous le savions. Chacun de nous est en situation désespérée sur une paroi de glace au Groenland et le vent souffle violemment. Notre position est si précaire que si nous respirons trop profondément, notre poids va changer et nous allons plonger droit vers notre mort. Dieu vient vers nous à ce moment et nous dit : « Je vais te sauver et te protéger dans la tempête. Mais il y a une condition. ». Votre cœur se serre. Votre visage est à plat contre la glace et vos ongles enfoncés dedans. Vous sentez que vous lâchez pied. Vous savez que si vous ne bougez rien que vos lèvres, vous allez tomber. Vous savez qu’il n’y a rien que vous puissiez faire pour Dieu !


Alors, Dieu vous donne le commandement de l’évangile: mon exigence est que tu espères en moi. N’est-ce pas une bonne nouvelle pour ce matin ? Qu’est-ce qui pourrait être plus simple que d’espérer en Dieu lorsque tout le reste est en train de lâcher pied ? Et c’est tout ce qu’il exige. C’est ça l’évangile.


Gloire à Dieu


Mais ce n’est pas uniquement une bonne nouvelle pour nous pécheurs. C’est aussi à la gloire de Dieu de ne faire que cette demande envers nous. Pourquoi ? Parce que lorsque vous espérez en Dieu, vous montrez


• qu’il est fort et vous faible ;

• qu’il est riche et vous pauvre ;

• qu’il est complet et vous vide.


Lorsque vous espérez en Dieu, vous démontrez ainsi que vous êtes celui qui a des besoins, pas Dieu (Psaumes 50 :10-15 ; 71 :4-6,14)


• Vous êtes le patient, il est le médecin ;

• Vous êtes la biche assoiffée, il est la source débordante ;

• Vous êtes la brebis perdue, il est le bon berger.


La beauté de l’évangile est qu’au travers d'une simple demande (« Mettez votre espoir en l’amour de Dieu ! »), nous entendons une bonne nouvelle et Dieu reçoit la gloire. Et c’est pourquoi Dieu prend plaisir en ceux qui espèrent en son amour – car dans ce simple acte d’espérance, sa grâce est glorifiée et les pécheurs sont sauvés. C’est ce commandement de l’évangile qui maintient Dieu au centre – centre de ses amours et des nôtres.


Le Plaisir de Dieu N’est pas dans le Cheval et dans les Jambes


A présent, demandons-nous pourquoi Dieu ne prend pas plaisir dans la force du cheval et les jambes de l’homme. Verset 10 :


Ce n’est pas dans la vigueur du cheval qu’il se complaît,

Ce n’est pas la robustesse de l’homme qu’il agrée ;


Non Pas Parce qu’Il ne se Réjouit pas De ce qu’Il a Créé


La question ici n’est pas que les chevaux vigoureux et les jambes robustes soient mauvais. Dieu les a créés. Il se réjouit dans la force et la liberté des puissants chevaux. Il a demandé à Job :


Est-ce toi qui donnes la puissance au cheval

Et qui revêts son cou d'une crinière flottante ?

Le fais-tu bondir comme la sauterelle ?

Son fier hennissement répand la terreur.

Il piaffe dans le vallon et se réjouit de sa force,

Il s'élance au-devant des armes ;

Il se rit de la peur, il n'est pas terrifié,

Il ne recule pas en face de l'épée.

Sur lui retentissent le carquois,

La lance étincelante et le javelot.

Bondissant d'ardeur, il dévore l'espace.

Il ne peut se contenir au son du cor,

Quand le cor (sonne), il crie : Ah !

De loin il flaire la bataille,

La voix tonnante des chefs et les clameurs.

(Job 39 :19-25)


Mais Parce que Nous Pourrions Placer Notre Esperance en Eux


Non, la question n’est pas que cet animal glorieux soit mauvais. La question est qu’au jour du combat, les hommes plaçaient leur espérance sur les chevaux au lieu de la placer en Dieu. Mais Proverbes 21:31 dit, « Le cheval est équipé pour le jour de la bataille, mais c'est à l'Éternel (qu'appartient) le salut. » Ainsi, Psaumes 20:8 dit, « Les uns, c'est à leurs chars, les autres, c'est à leurs chevaux, mais nous, c'est au nom de l'Éternel notre Dieu que nous faisons appel ».


Dieu n’est pas mécontent de la force des chevaux et des jambes des hommes. Il est mécontent envers ceux qui mettent leur espérance en leurs chevaux et en leurs jambes. Il n’agrée pas les gens qui mettent leur espérance dans les missiles ou le maquillage, dans les chars d’assaut ou le bronzage, dans les bombes ou le culturisme. Dieu ne prend pas plaisir dans l’efficacité d’une entreprise, les budgets équilibrés, les systèmes sociaux, les nouveaux vaccins, l’éducation, l’éloquence, l’excellence artistique ou les processus légaux ; lorsque ces choses représentent le trésor dans lequel nous plaçons notre espérance ou la réussite dans laquelle nous nous glorifions.


Pourquoi ? Parce que lorsque notre espérance est placée dans les chevaux et les jambes, ce sont les chevaux et les jambes qui reçoivent la gloire et non Dieu. Et nous sommes perdus, non sauvés.


C’est pourquoi, je vous exhorte vivement ce matin, pour le bien de votre âme et pour la gloire de Dieu : placez votre espérance uniquement sur la puissance et l’amour de Dieu, non sur vous-même ou ce que vous pouvez réaliser.


L’Eternel agrée ceux qui le craignent,

Ceux qui s’attendent à sa bienveillance.

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